Yvon Laverdière 1961 – 2008


« Une nuit, je vécus une expérience qui eut un impact profond sur ma vie. Ma conscience ordinaire bascula et je me trouvai soudain dans un état où je réalisais que tout procédait de l’infini, la vie baignant dans un présent éternel. Assis sur le bord du trottoir près de ma maison natale, aux côtés d’un orme centenaire que nous appelions « l’arbre des Racine » et qui avait une charge presque mythique pour les habitants du quartier, je passai des heures à observer le frémissement lumineux de la végétation qui m’entourait et la danse des fourmis défilant sous mes yeux. Dans cet instant d’éveil, je « vis » ce que bien d’autres avaient vu avant moi : Nous participons tous d’un seul être. L’humain procède d’une conscience lumineuse. Seule la prison de l’ego m’empêche d’accéder à la claire vision de l’univers. » Yvon Laverdière, Le guide du parfait survivant Transformer l’épreuve en source d’éveil, Les éditions du Septentrion p. 219.

« J’ai rejoint mon père et je vis dorénavant dans vos cœurs. Ce pont de près de cinq ans, duquel j’ai pu contempler les rives de l’éternité, reposait sur ces piliers que sont votre amour, la grâce d’être et une succession infinie de moments de parfaite paix. Merci pour tout. »

Né le 24 juin 1961, Yvon Laverdière est décédé le 11 août 2008 après avoir inspiré un grand nombre d’amis et de proches.  Ses écrits, ses conseils inspirés et ses farouches entêtements lui survivent dans nos cœurs et nos souvenirs. Il laisse dans le deuil sa mère Rita, sa sœur Jocelyne (Yves), ses frères :  Jean, René (Carole), Pierre (Martine) et Roger (France) ainsi que ses oncles, tantes, neveux et nièces. Il laisse également dans le deuil ses précieux amis qui l’ont si généreusement accompagné tout au long de sa maladie.

« Une nuit, je vécus une expérience qui eut un impact profond sur ma vie. Ma conscience ordinaire bascula et je me trouvai soudain dans un état où je réalisais que tout procédait de l’infini, la vie baignant dans un présent éternel. Assis sur le bord du trottoir près de ma maison natale, aux côtés d’un orme centenaire que nous appelions « l’arbre des Racine » et qui avait une charge presque mythique pour les habitants du quartier, je passai des heures à observer le frémissement lumineux de la végétation qui m’entourait et la danse des fourmis défilant sous mes yeux. Dans cet instant d’éveil, je « vis » ce que bien d’autres avaient vu avant moi : Nous participons tous d’un seul être. L’humain procède d’une conscience lumineuse. Seule la prison de l’ego m’empêche d’accéder à la claire vision de l’univers. » Yvon Laverdière, Le guide du parfait survivant Transformer l’épreuve en source d’éveil, Les éditions du Septentrion p. 219.

« J’ai rejoint mon père et je vis dorénavant dans vos cœurs. Ce pont de près de cinq ans, duquel j’ai pu contempler les rives de l’éternité, reposait sur ces piliers que sont votre amour, la grâce d’être et une succession infinie de moments de parfaite paix. Merci pour tout. »

Né le 24 juin 1961, Yvon Laverdière est décédé le 11 août 2008 après avoir inspiré un grand nombre d’amis et de proches.  Ses écrits, ses conseils inspirés et ses farouches entêtements lui survivent dans nos cœurs et nos souvenirs. Il laisse dans le deuil sa mère Rita, sa sœur Jocelyne (Yves), ses frères :  Jean, René (Carole), Pierre (Martine) et Roger (France) ainsi que ses oncles, tantes, neveux et nièces. Il laisse également dans le deuil ses précieux amis qui l’ont si généreusement accompagné tout au long de sa maladie.