Jean-Denis Gagnon 1942 – 2013


Monsieur Jean-Denis Gagnon est né le 25 août 1942. Il est décédé à l’Hôtel-Dieu de Québec. Il venait d’avoir 71 ans. Le samedi suivant son anniversaire, le 31 août 2013, sa voisine a constaté qu'il dormait depuis deux jours.  Elle a appelé les ambulanciers. Ils l’ont conduit à l’hôpital le plus proche où il a reçu de bons soins avant sa mort qui est survenue lundi le 9 septembre 2013 à 20h30. Monsieur Gagnon vivait seul avec un chat noir et une tourterelle.

À l’Hôtel-Dieu de Québec, le 9 septembre 2013, est décédé à l’âge de 71 ans monsieur Jean-Denis GAGNON, fils de feu Jean-Marie Gagnon et de feue Thérèse Landry. Il demeurait à Québec.

Son service religieux sera célébré en présence des cendres samedi le 26 octobre 2013 à 11h00 en l’église Sacré-Cœur-de-Jésus (paroisse Saint-Sauveur), sise rue de Montmartre (coin Renaud), Québec G1K 9C1.

Les Gardiennes de la mémoire des personnes défuntes remercient toutes les personnes qui se déplaceront pour assister à la cérémonie qu’elles ont préparée à son intention.

Les personnes qui le désirent peuvent faire un don à La Maison de Marthe, un organisme qui vient en aide aux femmes en difficulté, 75 boul. Charest Est, Casier postal 55004, Québec (Québec) G1K 9A4. Tél. : 418-523-1798. www.maisondemarthe.com Des formulaires seront disponibles à l’église. L’organisation des funérailles a été confiée aux Gardiennes de la mémoire des personnes défuntes 581.985.8555

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À la fin, il ne restera que le chemin que nous aurons choisi d'emprunter, librement, pour devenir nous-mêmes.

Que nous soyons prêts ou non, un jour, tout se terminera. Il n’y aura plus de levers de soleil, ni d’heures, ni de jours. Toutes les choses que nous avons accumulées, chéries, désirées passeront à quelqu’un d’autre. Notre richesse, notre pouvoir, notre renommée disparaîtront dans l’oubli. Ce qui nous était dû perdra toute importance. Nos rancunes, nos ressentiments, nos frustrations, nos blessures disparaîtront, tout comme nos espoirs, nos ambitions et notre besoin de reconnaissance. Disparaîtront aussi ces victoires et ces vengeances qui nous semblaient si nécessaires. À la fin, ce ne sera plus important de savoir si notre vie aurait pu être autrement, sans le mal qui nous a été fait. À la fin, il ne restera que le chemin que nous aurons choisi d’emprunter, librement, pour devenir nous-mêmes.

Que Monsieur Jean-Denis Gagnon repose en paix.

Brigitte Garneau, Les Gardiennes de la mémoire des personnes défuntes